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A SAINT OUEN LES DESSOUS DE LA VILLE
5 février 2009

TOUJOURS LA MEME TACTIQUE

SAINT OUEN est connu mondialement pour le marché aux puces , mais plus connue encore pour les agissements de son maire JACQUELINE ROUILLON et ses amis les COCOS ILLEGAUX , voir le nombre de reportages télés et articles de presses internationaux sur les SPOLIATIONS de petits propriétaires.

SAINT OUEN fait à nouveau parler sur les logements insalubres , et la COMBINE de la mairie est de préempter un bien à un petit propriétaire qui ne saura pas se défendre et lachera prise , la ville entre par ce biais dans bon nombre de copropriétées et laisse le bien à l'abandon , voir squatté pendant des années pour que la copropriété se dégrade et là Mme Le Maire brandit l'arme de l'insalubrité , qu'elle à elle mème fabriquée.

Une nouvelle affaire oppose aujourd'hui un hotelier à cette pratique de VOYOUS organisés

Le procès d’un hôtel insalubre Elodie Soulié | 17.01.2009,

La description de l’hôtel meublé de la Gare, boulevard Victor-Hugo à Saint-Ouen, fait froid dans le dos. Humidité suintante, colonies de cafards, de rats et de souris, installations électriques hors d’âge, chauffage minimaliste, peinture au plomb sur tous les murs, sanitaires totalement vétustes, chambres exiguës ou « studios » sans fenêtre… Même au tarif modique des « loyers de 1948 », les locataires ont des raisons de se plaindre de broncho-pneumonies et, pour certains, d’affections plus graves liées au plomb.

Hier pourtant, face aux juges du tribunal correctionnel de Bobigny, c’est moins de l’état de vétusté des lieux, visés par plusieurs arrêtés d’insalubrité, que d’un bras de fer juridique entre ses deux propriétaires qu’il était question. D’un côté la ville, propriétaire des murs, de l’autre le gérant de l’hôtel, propriétaire du bail… L’un et l’autre se sont renvoyé l’obligation de travaux plusieurs fois exigée par la préfecture, depuis que des locataires ont dénoncé leurs conditions de vie « indignes ».

Ville et propriétaires se renvoient la responsabilité

Ouvertement accusé par la justice et par la municipalité (PC) de Saint-Ouen d’être un « marchand de sommeil », d’avoir négligé ses obligations de travaux et continué de percevoir des loyers, Nacer Mehenni, le patron de l’hôtel est désormais menacé de douze mois de prison avec sursis, 20 000 € d’amende et cinq ans d’interdiction d’exercer. C’est la sanction réclamée, hier après-midi, par la substitute du procureur.
Devant les magistrats, la passe d’armes est venimeuse entre mairie et hôtelier. En plus d’un préjudice financier « d’avoir dû s’occuper du relogement d’urgence de ces locataires en détresse », la ville dénonce un « préjudice d’image » causé par l’hôtelier, « qui a associé Saint-Ouen à l’image déplorable d’un marchand de sommeil ». A quoi l’ex-gérant défend sa bonne foi. « Je ne pouvais pas faire des travaux en huit jours et quitter les lieux ! s’indigne Nacer Mehenni, en s’en prenant à l’avocate de la ville. Vous étiez propriétaire et n’avez jamais mis un centime dans ces murs, alors que, depuis quatre ans, j’ai fait près de 80 000 € de travaux, dont la réfection de la toiture. » Pour son avocat, M e Alain Stibbe, les juges se trompent de responsable, en accusant trop facilement Nacer Mehenni : « La réalité est tout autre, martèle l’avocat. La réalité, c’est un propriétaire des murs qui refuse de faire les travaux puis utilise son pouvoir de police et de mairie par opportunisme. La ville connaissait l’état des lieux depuis 1999 ! » M e Stibbe n’omet d’ailleurs pas de poursuivre la mairie en justice, à son tour. En attendant, les dernières familles toujours logées sur place vivent entre coupures d’eau et d’électricité.
La cour s’est donné deux mois de réflexion pour démêler l’imbroglio juridico-administratif et rendra son jugement le 27 mars.

Le Parisien

Des témoignages sur ce genre de pratiques orchestrées par Mme Le Maire et ses amis les COCOS ILLEGAUX n'en manquent pas

L'immeuble de la rue GLARNER , les PREEMPTIONS abusives et condamnées par le tribunal de CERGY PONTOISE

C'est pas l'habitat insalubre qu'il faut dégager de la ville , mais son maire SAINT OUEN le no man's land de la banlieue Parisienne.

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