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A SAINT OUEN LES DESSOUS DE LA VILLE
19 janvier 2007

ILS SONT PRET A TOUT

C ETAIT ENCORE PIRE

Le 21 décembre 2006 , un article intitulé C ETAIT CHAUD vous parlait du conseil municipal de la ville de SAINT OUEN du 18 décembre , le contenu de cet article était bien en dessous du climat de ce conseil municipal , nous avons récuperer le texte , le vrai , pas celui de la PRAVDA communiste de SAINT OUEN

Visiblement MME LE MAIRE est de plus en plus dans L ILLEGALITE, après les PREEMPTIONS ILLEGALES ,  , voila que les COMPTES RENDUS du conseil municipal sont plus que TRONQUES

MAOS OU S ARRETERONT ILS ?

Vous trouverez le texte intégral sous les sites internet parlant de SAINT OUEN ,sauf sur celui de la ville , voici le premeir extrait

VILLE DE SAINT-OUEN

CONSEIL MUNICIPAL

Séance du 18 Décembre 2006

__________

La séance est ouverte à 20h15 sous la présidence de Madame Roui l lon.

- Appel nominal des conseillers municipaux.

- Désignation du secrétaire de séance

Proposition : Madame DUBOIS

Exprimés : 27 – Pour : 27 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ADOPTEE

Arrivée de Mesdames Geoffroy, Compas et de Monsieur Druon à 20h20.

- Adoption du procès verbal de la dernière séance du 20 novembre 2006

Mme Le Maire : Avez vous des remarques ?

M. DELANNOY : Oui, j’aimerais faire un petit rectificatif : notre groupe s’était

abstenu pour le remplacement des menuiseries extérieures de l’Hôtel de ville.

Autre chose avant qu’on rentre dans le vif du sujet : j’aimerais aussi revenir sur les propos du conseil municipal précédant , sur ce qui a été retranscrit une fois de plus dans votre magazine de propagande. Il y a des méthodes, Mme Le Maire, qu’on ne peut pas accepter, surtout en démocratie, à savoir que quand un élu, quel qu’i l soi t , exprime des choix politiques, idéologiques ou autres, il faudrait qu’on prenne la peine de les retranscrire correctement , parce qu’une nouvelle fois, je m’aperçois qu’on fait des montages sur la page concernant le conseil municipal . Alors je vais juste vous lire le code pénal , ce n’est pas le livre rouge de Mao mais je lis que l’on peut « punir d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende le fait de publier un montage réalisé avec les paroles d’une personne sans son consentement , s’il n’apparaît pas à l’évidence qu’i l s’agit d’un montage ou s’il n’en est pas fait mention », donc je me réserve le droit d’attaquer la directrice de la publication de ce magazine en considérant que quand je prends la parole, je veux bien que ce soit retranscrit mais qu’on m’informe auparavant pour savoir si je suis d’accord pour que ce soit retranscrit dans le bulletin municipal .

Autre chose : j’ai demandé pour la première fois l’autorisation d’avoir une tribune libre, ce que vous ne m’avez pas accordé, je tiens à vous rappeler, Madame, ce que vous m’avez écrit comme argumentaire : « Le magazine municipal a comme son nom l’indique le but de permettre à tous les politiques de faire valoir librement leur point de vue sur les sujets d’intérêt local ou général . Cependant, après avoir examiné attentivement le contenu de cette tribune, sa publication n’est pas compatible avec le magazine municipal . En effet, le sujet aussi bien que la teneur de l’article s’inscrivent complètement dans le cadre de la campagne électorale à venir pour le scrutin municipal , et ce n’est pas dans la vocation du magazine d’en rendre compte, dès lors sa publication aboutirait à ce que le magazine municipal soit intégré aux comptes de la campagne, i l me paraît impensable d’envisager cette parution. » Bien évidemment, je suis dans l’opposition , et quand je dis des choses dans une tribune libre, je vais forcément à l’encontre de votre politique, mais je tiens à rappeler que les magazines ne peuvent être imputés dans les comptes de campagne qu’à part ir d’un an avant la date des élections, soi t mars 2007. Une nouvel le fois, vous êtes dans l’illégalité, et en plus de ça, je considère que c’est une volonté de vouloir bâillonner l’opposition, la vraie opposition municipale, et donc une nouvel le fois j’écrirai au préfet pour qu’i l demande au maire de Saint-Ouen de respecter la loi. Ensuite, je vous demanderai, Madame le Maire, puisque vous m’interdisez de parler dans le journal municipal à travers la tribune libre, si quand un élu fait de la propagande en pleine période électorale, c’est-à-dire au moment des présidentielles, et appelle à voter pour un candidat, je me demande si le maire de St Ouen va demander à Français Bayrou d’inclure dans ses comptes de campagne pour la présidentielle le magazine municipal. J’attends votre réponse aussi là dessus.

Mme Le Maire : Si je reprends le premier point, vous parlez de la délibération sur les menuiseries extérieures de l’hôtel de ville pour lesquelles i l y avait eu 31 exprimés et 31 voix pour, et vous voulez que vos voix soient ajoutées en abstentions ?

M. DELANNOY : Tout à fait .

Mme Le Maire : C’est noté. Pour le deuxième aspect, reprochez-vous que l’on ait mal retranscrit vos paroles, avec l’appui de la réglementation, ou ne voulez-vous pas que l’on retranscrive vos paroles car vous estimez qu’el les sont déformées ?

M. DELANNOY : Mme Le Maire, je vous ai dit plusieurs fois dans ce conseil municipal que je ne souhaitais pas que vous reteniez mes paroles puisque vous êtes incapables intellectuellement de pouvoir retranscrire ce qu’el les sont , donc au lieu de me fâcher avec vous, je vous ai demandé de faire abstract ion de mes déclarations et de ne pas les citer, seulement je m’aperçois que vous continuez à le faire et aussi qu’el les sont toujours détournées de leur contexte. Quand je dis que je remettrai tout en cause dans mes déclarations sur la politique locale d’urbanisme de M. Bentolila sur l’ensemble de la ville, pas uniquement sur un site, et quand je vois que Jacqueline Rouillon l’interroge même sur le parc des logements sociaux et des équipements, -d’ailleurs, je tiens à rappeler à Mme Rouillon que c’est son collègue Pérégo qui m’a interpellé et pas le maire- évidemment , mettre un document comme ça dans 20.000 boîtes aux lettres, ça laisse supposer et c’est une démarche très politique, que William Delannoy s’oppose à la construction de logements sociaux, de parcs, de crèches, tous les délires habituels dont vous êtes les auteurs.

Mme Le Maire : Je crois que je vais faire appel au rédacteur en chef car en général les élus sont contactés quand il s’agit de retranscrire leurs propos et je ne suis pas sûre que vous ayez répondu à ses sollicitations, car trouver des méthodes de travail partagées, c’est permettre et cela a été décidé collectivement que les élus expriment des points de vue qui sont restitués aux citoyens, et j’avais proposé et vous en étiez tous d’accord, qu’à partir du moment où i l y avait un regard de votre part , on travaillerait de cette façon là. Je ne suis pas sûre que ce soi t toujours si facile de vous joindre et peut être a-t-on dû laisser passer des choses à vérifier pour ce numéro. Quant au troisième volet, je voudrais vous rappeler que votre tribune avait pour objet de proposer aux Audoniens de venir vous voir à votre permanence d’élu de l’opposition en vue des prochaines élections , et évidemment il n’est pas prévu que le magazine municipal joue ce rôle d’un journal de parti , ou soit un journal très politique,  ce magazine municipal ne peut pas servir à ce que vous puissiez donner des éléments de campagne électorale, ou d’une autre nature, et je pense que vous savez très bien faire la différence entre ce qui relève de l’activité d’un parti et le reste ; il y a dans cette ville des partis politiques qui utilisent des moyens d’information qui leur sont propres, et qui s’expriment par ailleurs dans le magazine en tant qu’élus, avec de l’opposition , des critiques, etc. . , mais aucun élu de notre collectivité n’utilise le magazine pour servir sa propagande de parti. Voilà ce qui vous a été répondu dans la tribune.

M. DELANNOY : Excusez-moi de vous couper mais je ne crois pas qu’informer la population qu’un bureau peut les accueillir soit d’une autre teneur que M. de la Rochette qui met son adresse et son blog sur votre magazine, que M. Kalaydjian qui met ses permanences en mairie avec son numéro de téléphone, je considère que c’est exactement la même démarche. De plus, je tiens à vous rappeler que ce n’est pas à la directrice de publication de se transformer en juge électoral , si d’aventure vous estimez que je n’ai pas à m’exprimer, c’est au tribunal administratif de le dire. D’ailleurs, quand vous parlez de permanence, est ce que ça veut dire que vous savez que je suis candidat pour la prochaine fois ? Vous avez des informations à me donner ? Je peux avoir juste un local pour assurer ma mission d’élu actuellement et i l n’est pas dit que je serai candidat contre vous, comme i l n’est pas dit que vous serez candidate vous même, on peut tout imaginer, je demande juste de pouvoir dire aux Audoniens que je peux les recevoir et voir avec eux quels sont leurs problèmes, de la même façon que vous le faites en mairie.

Mme Le Maire : Je n’invite pas la section du parti communiste, je ne me permettrai pas de le faire dans le magazine, j’utilise d’autres moyens qui sont financés autrement, notamment par le parti .

M. DELANNOY : Je ne pense pas que sur la vitrine de ma permanence i l y ait un logo de parti politique, quand vous passez, vous devez mal regarder.

M. DRUON : Juste pour porter à votre information que dans le cadre des compte rendus de notre assemblée, il ne m’a pas semblé que l’avis des élus qui sont cités leur soit demandé avant publication, pour ma part je peux témoigner que l’on ne me demande jamais mon avis pour reprendre une partie des propos que j’ai tenus au conseil , ce qui m’a fait abandonner toute démarche auprès de la rédaction pour essayer d’attirer son attention sur un certain nombre de malentendus qui ont pu arriver dans le journal .

M. BENTOLILA : Une information pour M. Delannoy, ce serait bien que dans cette séance on puisse s’écouter : je rappel le simplement que dans cet te équipe municipale, les orientations ne sont pas des orientations de Monsieur ou de Madame. . . . , ce sont des orientations sur le logement , l’éducation, le sport , l’accompagnement social ,c’est une politique municipale, pas une politique d’urbanisme de M. Tartenpion, mais c’est celle de la municipalité.

Et dernier élément : je comprends que vous tentiez d’individualiser ou de masquer les responsabilités des uns et des autres car parfois vous êtes sans formation politique, puis ensuite vous êtes conseiller régional UMP, en permanence les Audoniens se demandent quelle est la politique de la droite à St Ouen, et de ce point de vue comme nous débattons, comme nous informons, c’est une politique collective qui a fait l’objet d’une participation de la population que nous mettons en oeuvre, mes collègues et moi , en toute cohérence et en toute fierté.

M. DELANNOY : M. Bentolila, vous ne comprenez pas comment William Delannoy évolue politiquement et comment il pense que la politique doit se faire, ce n’est pas forcément être « à la bot te » d’un part i politique, je veux garder ce que j’appel le un « esprit libre ». St Ouen en toute liberté, c’est mon esprit libre, et si je suis apparenté UMP, je pense connaître un maire de Montreuil , une maire adjointe de Paris qui sont aussi apparentés au part i communiste, ce n’est pas tout à fait cela. . . Mais enfin, considérez que je suis apparenté à l’UMP si ça vous va bien.

Mme Le Maire : On va passer au vote du PV car on n’est plus dans les débats du

Conseil.

Exprimés : 30 – Pour : 30 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .ADOPTEE

D'autres infos sur SAINT OUEN  tres bientot

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